Comme quoi on ne pourra pas dire que je ne vous gâte pas.
1) Non seulement il y a une mise à jour du compte-rendu d’Orpheus Ex Machina, mais en plus elle consiste DEUX nouvelles pages au lieu d’une (ça y est, les PJS sont enfin à Budapest!). Au programme: du sang, de la violence, des martres molles, des Russes hargneux et la gare de Pfohzt (nous sommes sceptiques).
2) Grand ménage sur le site côté thème graphique, puisque le précédent était un peu trop gentillet, et ne reflétait pas vraiment l’atmosphère de la Chronique (yeah, no shit, Sherlock). Normalement, j’ai suffisamment trituré la CSS pour que cela soit lisible, mais si vous voyez des cochonneries ici et là, faites-m’en rapport et je tâcherai de voir ce que je peux faire. Avant la rentrée des classes, si possible.
3) Lucia nous rejoint pour les comptes-rendus, d’ailleurs je la surveille, elle tapote bien sur son clavier (ou alors elle est sur Wikipédia? Hmmm…). C’est-y pas beau, tout ça?
Qui a mal au dos à force d’avoir passé l’après-midi voûtée sur son clavier comme une geek des cavernes,
Votre obligée,
Irena Van den Haag
La page 8 d’Orpheus Ex Machina est en ligne (excusez les fautes, j’ai voulu me bouger un peu, sinon ça aurait encore traîné pendant des jours). Vous y découvrirez combien un groupe de PJs, c’est parfois bien imprudent, et parfois même encore bien con: non seulement ils se font (presque) prendre au piège comme des bleus, mais en plus leur riche idée concernant le reste de l’Amulette d’Anubis aura peut-être des conséquences… en fait, on n’en sait rien, eux-mêmes ignorent toujours pourquoi ils ont pris une telle décision.
Qui n’était pas innocente dans l’affaire,
Irena Van den Haag
De retour des oraux du CAPES, et en l’absence de cours à suivre pour l’été (encore heureux), me voici prête à me ré-atteler aux comptes-rendus. Voici donc la septième partie d’Orpheus Ex Machina, qui met en scène un étrange rêve, la reconstitution du puzzle des cristaux, un vol bien sournois comme on les aime, et une petite baston avec un homme qui semble en avoir gros sur la patate au sujet de Jan Peter… alors que Jan ne le connaît même pas.
Qui ne se souvenait même plus de la connerie monumentale qu’on a commise au mausolée,
Irena Van den Haag
22
May
Encore une fois, j’ai terminé mon boulot plus tôt que prévu, j’ai donc pu me permettre de reprendre le compte-rendu d’Orpheus Ex Machina là où je l’avais laissé. Tout le monde saura donc maintenant ce qui s’est passé entre Irena et Damien de Laplace, en ce soir de novembre 1927 où tous deux se rencontrèrent en tête-à-tête dans un club très… fermé.
Bonne lecture, et profitez-en bien, car je ne sais pas quand je pourrai taper la suite.
Qui fait de son mieux,
Irena Van den Haag
18
May
Chose promise, chose dûe (encore heureux que j’ai eu le temps de faire ça entre deux traductions), voici encore une page pour Orpheus Ex Machina, contenant la suite des investigations de nos zéros héros pleins de vigueur en ce qui concerne le rituel, l’histoire de Vienne et les horaires de train.
La prochaine fois, retrouvez yours truly conviée à dîner un peu spécial dans un lieu tout aussi spécial par un monsieur encore plus spécial.
Qui aime bien laisser les gens sur des cliffhangers et des demi-spoilers,
Irena Van den Haag
15
May
Lentement mais sûrement, les comptes-rendus continuent. Amoureusement tapée par mes petits doigts, voici une nouvelle page pour Orpheus Ex Machina, et je tape la suite dès que possible, promis.
Qui arrivera à le finir un jour, ce CR, si, si,
Votre obligée,
Irena Van den Haag
21
Apr
J’ai été en mesure ce week-end de rajouter une page au compte-rendu d’Orpheus Ex Machina. Je n’ai hélas pas pu faire plus, et il y a sans doute encore des fautes dans le tas, car le temps m’a manqué pour faire des rrelectures et corrections, mais au moins l’affrontement qui s’est déroulé dans cette partie du scénario est-il à présent enfin en ligne. (Imaginez-le sur fond de Wish I Had An Angel de Nightwish, et vous aurez une idée de l’atmosphère de cette séance-là. Moi, en tous cas, elle m’a bien marquée.)
Votre chroniqueuse chroniquement en retard obligée,
Irena Van Den Haag
Il est beau, il sent bon le sable chaud, enfin en l’occurrence le brouillard pollué d’un coeur de mois de décembre à Strasbourg… Voici le début d'Orpheus Ex Machina, rédigé entre deux coups de bourre pour finir ses révisions avant les vacances de Noël… Heu, je digresse, là.
Orpheux Ex Machina, donc, ou le retour des aventures de nos trois (z)héros pleins de vigueur, à la sortie des catacombes viennoises, et qui ne retrouvent la sécurité du Palais Melvany que pour mieux aller se fourrer dans de nouvelles tribulations qui risquent fort de les dépasser. Et ne manquez pas la suite, car très bientôt va apparaître un adversaire que l’on croyait oublié, et qui ne s’en rappellera au bon souvenir des PJs qu’avec plus de violence encore. *teasing, teasing*
Votre Hermétiste glandeuse du samedi soir, mais qui a une excuse parce qu’elle a quand même passé sa journer a) en cours, b) à se farcir Les Raisins de la Colère pour la troisième fois,
Irena Van den Haag
Enfin, me direz-vous, enfin: voici la dixième et dernière page, du moins si j’en crois l’endroit où cessent mes notes de jeu concernant ce scénario, pour La Source du Dragon! J’y aurai mis le temps, mais comme on dit, à qui sait attendre, tout ça, tout ça…
D’accord, j’admets avoir fait preuve de verbiage plus intensif que lors du compte-rendu de Liminalité, ce qui m’a fait mettre plus de temps à finaliser ce récit— en tous cas, c’est l’impression que j’ai. Et comme me l’a d’ailleurs fait remarquer Monsieur R., décidément, les passages du temple souterrain et des égouts ont soudainement pris en nombre de lignes par rapport aux autres…
Trêve de bavardages, je vous laisse donc lire, en attendant le prochain compte-rendu, qui verra le début d’Orpheus Ex Machina.
Votre verbeuse virulente à la plume viciée sous la valse de tant de variations verbales,
Irena Van den Haag
12
Sep
Attention, la neuvième page ajoutée au compte-rendu de La Source du Dragon fout les miquettes. En tous cas, c’est la sensation qu’elle nous a laissée lorsque nous avons joué cette séquence, et je ne vous raconte pas l’emoi lorsqu’il a fallu ensuite rentrer passé minuit le long des quais, au son des eaux de l’Ill clapotant doucement contre les berges, entre un ragondin errant et les rats crevés gisant non loin de là sur la piste cyclable. Quoi, comment ça, impressionable? Je vous assure qu’avec la musique bien sombre et la table de jeu noyée dans la pénombre, ça faisait son petit effet.
La suite et fin prochainement, afin de vous faire découvrir aussi notre nouvel ami Schnatter…
Qui n’aime pas rentrer à vélo la nuit, surtout le long du Marché à Viande,
Irena Van den Haag