Enfin, me direz-vous, enfin: voici la dixième et dernière page, du moins si j’en crois l’endroit où cessent mes notes de jeu concernant ce scénario, pour La Source du Dragon! J’y aurai mis le temps, mais comme on dit, à qui sait attendre, tout ça, tout ça…
D’accord, j’admets avoir fait preuve de verbiage plus intensif que lors du compte-rendu de Liminalité, ce qui m’a fait mettre plus de temps à finaliser ce récit— en tous cas, c’est l’impression que j’ai. Et comme me l’a d’ailleurs fait remarquer Monsieur R., décidément, les passages du temple souterrain et des égouts ont soudainement pris en nombre de lignes par rapport aux autres…
Trêve de bavardages, je vous laisse donc lire, en attendant le prochain compte-rendu, qui verra le début d’Orpheus Ex Machina.
Votre verbeuse virulente à la plume viciée sous la valse de tant de variations verbales,
Irena Van den Haag
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